chapitre 4
-Quoi! s’eclame t-il en ouvrant grand les yeux
- Si le bébé est vraiment le tien, j’accepte que tu reste avec elle.
- Hein?
- Si tu découvre qu’il n’est pas de toi ou que c’est pas vrai, alors quitte la.
Il penche la tête et soupire.
-Mais Éric?
-Hum
-Ne couche plus avec elle tant que tu n’auras pas confirmation de quoique se soit! Sinon elle pourrait tout faire pour
qu’elle soit vraiment enceinte.
- Elle n’est pas comme ça! souffle-t-il tout bas.
- Moi non plus, mais une femme peut faire tout et n’importe quoi quand elle se sens trahi.
-C’est d’accord., fini-t-il par consentir
La serveuse dépose l’addition à côté d’Éric et je trouve ça injuste. Comment ose-t-elle croire qu’il va payé pour moi? Et pourquoi s’imagine-t-elle qu’ils sont ensemble?
- Je t’invite dit-il
- Non je peux très bien payé pour moi merci.
- Arrête Kath! C’est moi qui t’ai demander rendez-vous!
Je soupire résignée.
- N’utilise pas de carte, paye en liquide! exigeai-je en le voyant sortir sa Visa.
- Pourquoi?
- Peut-être suis-je paranoïaque et que j’imagine qu’elle va fouiller tes comptes?
Il secoue la tête.
- Tu pousse trésor!
Je me fige. Trésor? Mon coeur accélère.
- Tu fais ce qui te chante,
trésor! rétroquai-je
Je me lève furieuse et sort du restaurant. Je passe le dimanche à relire les points de la réunion que je devrai voir avec Éric demain... comme si j’avais envie de le voir. Bon honnêtement j’ai très envie de le voir, mais pas au bureau et la tête n’est pas au travail. Si elle est vraiment enceinte de lui, j’ignore ce que je pourrais faire... et même alors... qu’est-ce que lui voudrait faire? Je m'endore sur mon divan en pleurant.
J’ai tellement peur de perdre mon meilleur ami. Je me réveil, prend un petit déjeuner, avant de monter m’habiller, sans me maquiller et de prendre la direction du bureau. Je dois parler à ma secrétaire avant quiconque ne le fasse. Heureusement, elle était en avance, comme toujours.
-Mathilda!
-Oh, Madame Martel! Justement je devais vous parler.
Je sourie.
-Alors venez avec moi dans mon bureau.
-Je... je vais avoir des ennuies?
-Vous devriez en avoir? demandai-je curieuse.
Mathilda fronce les sourcils dans une intense réflexion avant de sourie franchement.
-Non.
J’ouvre ma porte et elle la referme derrière elle. Je me retourne et la détail des pieds à la tête. Elle est à peine plus petite que moi, elle a des cheveux châtain plus clair que les miens et ses yeux vert brille de curiosité et elle porte une jupe beige avec une chemise blanche et une cravate brune rayé beige.
- J’ai un service à vous demander ma chère.
-Oui, tout ce que vous voudrez.
C’est fou comme il faut faire attention à tous ce que l’on dit.
-Si quelqu'un vous le demande et ça inclus n’importe qui, vendredi soir, vous êtes allez avec Monsieur Dumont pour
chercher ma voiture chez lui, et vous aviez un tailleur noir avec une chemise bleu.
Elle fronce les sourcils.
-Mais c’était vous qui étiez habiller comme ça!
Je sourie à nouveau.
- Non c’était vous! Et Mathilda, ce n’est rien de criminel, et je suis sur que personne ne le demandera, mais au cas, ou,
pourriez-vous le dire?
Elle réfléchie mais acquiesça.
-Tu peut y allez.
Elle s’apprête a sortir lorsqu'elle se retourne et me fixe.
- Monsieur Berrington à appeler pour reporter le rendez-vous et Madame Pitre pour avancer le sien à demain midi.
Je soupire.
- Bien merci.
Je vais fermer les store de mon bureau et me verrouille à l’intérieur avant de me plonger dans les dossiers administratifs. Tellement concentré que je n’entend pas immédiatement le raffuts derrière ma porte de bureau.
-Je dois la voir! crie une femme.
-Je suis désolé mademoiselle, mais elle n’est pas là!
J’adore ma secrétaire.
-Sa voiture se trouve au parking, je sais qu’elle est ici.
-Elle est parti voir un client, elle n’est pas ici.
Je devrais pensé à y donner une augmentation.
-Donnez moi votre nom et je vous donnerai rendez-vous.
- C’est garce ne s’en tirera pas comme ça! hurle la femme.
Selon c’est propos ça ne peut qu'être Béatrice. Je me lève, ramasse mon sac à main et sort par les couloirs arrière pour descendre dans la rue et remonter par l’entré principal. En revenant à mon bureau, Mathilda me regardait bouche bée et mon bureau avait été forcé.
- Appelle la police s’il te plait, Mathilda.
Elle hoche la tête et s’empare du téléphone. Soudain, une tornade rousse se jette sur moi. Béatrice avec ses courts cheveux relâché, à cheval sur moi, me donne un coup de poing au menton.
- Sale pute! T’a coucher avec mon frère!
- Et alors? C’est pour ça que tu nous as présenter non?
Elle me donne un coup à l’estomac. Elle m’attrape par les cheveux et me force à me lever. Je lui assainit un coup de paume sous le nez. Elle me lâche enfin et je vois le sang dégoûter de son visage. Elle l’essuie, le regarde et se jette à nouveau sur moi, me faisant tomber sur le bureau de ma secrétaire. C’est la police, 5 minutes après qui nous sépare. Elle avait le nez en sang, 2 doigts cassés après que j’ai donné un coup de talon aiguille et quelques bleu.
Moi appart quelques cheveux arraché et un tailleur à jeter et des souliers fichu je n’était pas si mal en point. J’étais convié au poste après le bureau. Je secouai la tête. Si je porte plainte, Éric risque de m’en vouloir, si je ne le fait pas, rien ne garanti qu’elle ne recommence pas ou qu’elle ne soit pas plus violente. Ce qui m’étonne par contre c’est sa réaction, après tout c'est son frère, elle n’a pas réagis avec autant de force vendredi soir. Je secoue à nouveau la tête incapable de me décidé. Soudain, quelqu’un s'empare de mon coude avec force et me tire vers l’arrière, je me tord le cou et m'aperçois que c’est Éric.
-Éric?
-Viens, dit-il les dents serré.
Il me pousse dans son bureau, claque la porte et ferme ses stores.
-Mais qu’est-ce que tu fait? hurle-t-il
-Moi? Je te signale que c’est elle qui ma sauté dessus!
-Et elle est enceinte je te rappelle!
Je me tait et reprend plus calmement.
-C’est confirmé?
-Non on a rendez-vous mercredi soir chez sa gynécologue.
- Tu sais que tu ne devrais rien voir avant le 3
e mois.
-Tout ce que je sais c'est que le médecin va pouvoir me dire si je peux la quitter ou non.
Je soupir et m’assoie dans un des fauteuil. Il viens s’asseoir près de moi et touche mon genou. Je me lève, incapable de le laisser me toucher.
-Kathy? dit-il d’une vois rauque où perce la douleur.
Je fais les cents pas, pensant à toute cette histoire. Je fini par m’asseoir sur son bureau.
-Je crois que je vais porter plainte contre elle, lâchai-je enfin.
Je vois le sang quitter son visage, mais je suis incapable de le regarder dans les yeux. Il se lève mais ne bouge pas.
- Ne fait pas ça je t’en pris, fini-t-il par chuchoté.
Je hausse les épaules.
-Comment tu réagirais si tu savais que tu allais perdre l’homme que t’aime?
- Je n’inventerais pas une histoire de grossesse à dormir de bout, je n’irais pas chez l’autre femme et je n’irais pas me
battre avec elle à son travail, Demrick! criai-je
Le voyant croisée les bras je levai les yeux vers lui.
- Je serais beaucoup plus garce que ça, et tu le sais!
Il éclate de rire et s’approche doucement de moi. Il fait glisser ses doigts le long de mon bras.
- Je suis content de ne pas être ton ennemi.
Ce simple touché me fait frisonner de plaisir et t’attente. Je le repousse et me lève.
-Arrête Éric.
Il penche la tête sur le côté avec un petit sourire.
-Arrêter quoi? dit-il en s’approchant assez de moi pour que je sente sa chaleur sans me toucher.
Il se penche, frôlant délicatement mes lèvre des sienne sans m’embrasser. Je dégluti péniblement.
-Ça! rétorquai-je en levant la tête.
J’ignore si c’était pour le foudroyé du regard ou pour quémandé un baisé
-Je comprend pas.
-Dire que je croyais que tu étais intelligent.
Il glisse une main de mon poignet à mon épaule avant de la mettre sur ma nuque. Il caresse doucement mon cou de son pouce en appuyant enfin ses lèvres sur les miennes. Il glisse délicatement sa langue contre la mienne et j’ai l’impression sensuelle qu’il me fait l’amour de ses lèvres. Je m'agrippe à lui, l’attirant un peu plus à moi. Il glisse sa seconde main sous la jupe de mon tailleur caressant le bord en dentelle de ma culotte, lorsqu'on frappe à sa porte. Il me regarde, replace ma chemise et ma jupe pendant que je repeignait ses cheveux. Je me laisse tomber sur un des fauteuil, lui toujours debout.
-Entré.
Je me tourne vers la porte. C’est Mathilda.
- Je suis désolé de vous.. heu... déranger, mais je devais prévenir Madame Martel qu'un certain Monsieur Anthony
Baumont a appeler 6 fois depuis le départ des policiers. Il veux que vous le contactiez au plus vite. Il souhaiterais aussi
prendre un rendez-vous privé.
Je me raidi.
-Merci Mathilda.
Elle ferme la porte en la verrouillant, je me lève en soupirant. Je ferais mieux de passer l’appel pour avoir la paix. Une main chaude s’empare de mon bras et me pousse vers le bureau.
-Merde, Éric!
Il se plaque contre mon dos, me coinçant entre lui et le gros meuble ne bois. Il défait deux bouton de mon chemisier et glisse sa main droite dans l’ouverture gardant sa gauche enserrer à ma taille.
-Éric? murmurai-je autant d’indignation que d’excitation.
Il passe un doigt sur le bas de ma brassière elle aussi en dentelle. Puis il soulève le balconnet libérant me libérant du supplice. Sa main gauche quitte lentement ma taille pour se glissé dans ma jupe, me me cabre contre lui, rejetant ma tête sur son épaule. Il glisse ensuite sa main sous mes dessous et sa main droite commence a chatouillé, titillé et caresser mon sein gauche. Lorsque ses doigts se pausent sur mon bouton de rose je fut incapable de retenir un gémissement de plaisir, mes jambes devenant tremblante.
Je sens cette chaleur très dur contre mes fesses me soutirant un autre soupire. Soudain il plaque mon torse contre son bureau remontant ma jupe et abaissant ma culotte noir. J’entend se bruit métallique d’une fermeture éclaire qu’on ouvre. Il m’écarte doucement les jambes, bien que je le fasse volontiers. Il presse son membre contre moi et je me dandine de supplice.
-Éric, suppliai-je
Il glissa sa main entre moi et le bureau me reculant un peu pour lui permet de jouer de nouveau avec moi.
-Kathy? Promet moi une chose s’il te plait.
Je jurai.
-Tu crois que c’est le moment?
-Oui!
Je soupirai en me collant un peu plus à lui. Ses doigts si habile me tenait au bord du précipice.
-Quoi?
Il me retourne, m’allonge à moitié sur le dos tenant mes jambes, plaçant son membre si dure, si désirable à l’orée de mon monde.Je ne pouvais pas bouger. Avancer plus, je tombe par terre, me reculant il me suivrais jusqu'à ce que je ne puisse plus. Il pris sa verge dans sa main le faisant glisser dans mon entre jambe, faisant des mouvement de vas-et-viens sur mon bouton de rose, se glissant dans l’entré du paradis.
- Ne fait plus rien avec Anthony! Je serais incapable de le supporter maintenant que je t’ai.
Il me fixe dans les yeux où je peux lire de la souffrance et de la colère.Je glissai ma jambe libre autour de lui le tirai en moi. Surpris il s’enfonce rapidement, m’arrachant un petit cris de plaisir. J’attrape sa cravate et le tire à moi, l’embrassant .
-Je te le promet.
Heureux, il me fit l’amour passionnément avec une main sur la bouche pour m'empêcher de faire trop de bruit. On fini par terre, moi couché sur lui.
-On devrais pensé à le faire plus souvent et dans un lit, dit-il en me serrant contre lui.
Je lui sourie à mon tour.
-J’ai bien l’intention de le faire très souvent, mais il y a plein d’endroit à essayer.
-Kath, je suis sur que tu ne sais pas tout ce qu'on peut faire dans une chambre.
Probablement pas. Peu de mes anciens partenaire étaient inventifs.
-Je n'avouerai jamais si tu as tord ou raison.
Il me fait rouler à côté de lui et s'assoit.
-On va dîner?
Je regarde la pièce et j’éclate de rire. Les fauteuils étaient renversés n’importe comment, les papiers sur le bureaux sont tombé au sol pèle-mêle et mes vêtements sont éparpillé dans la pièce. Je remarque alors mon soutien-gorges qui pend d’une des bibliothèque.
-On devrais faire un peu de ménage!
Il suit mon regard et rit lui aussi.
Après avoir remit de l’ordre dans la pièce, Steve, le secrétaire de Demrick, viens lui annoncé qu'un des client voulait absolument dîné avec lui ce midi et je me retrouve seule. Je me fait livrer du restaurant et je mange dans mon bureau.